Couvrir un événement historique

Le film doit montrer l'ampleur de la fête, avec des événements dans toute la Métropole. Des spectacles itinérants, des concerts, des prises de paroles, des stands de repas, etc. Nous avons déployé cinq équipes en simultané afin de ne rien rater de la journée. Nos cadreurs et réalisateurs devaient suivre les nouvelles rames et les usagers, interviewer les citoyens, les agents et les artistes, et capter les temps forts comme des spectacles, des diffusions de films ou un défilé de vélos. 

Des portraits humains

L'intérêt du film se trouve dans la part belle faite aux citoyens et acteurs et actrices de l'événement. L'objectif était d'obtenir un maximum de micros-trottoirs et de portraits vidéo. Le fil conducteur du projet est bien les gens, les usagers, les usagères et les agents qui ont œuvré à la création et au fonctionnement de cette ligne. Des enfants, des seniors, des personnes à mobilité réduite, la pluralité des portraits et des discours traduit l'engagement de la Métropole.

Un style documentaire

Le film a aussi une dimension artistique et une ambition visuelle plus poussée qu'un reportage traditionnel. Les cadreurs et réalisateurs ont une vision artistique et osent des plans audacieux, au ralenti, en très gros plan, ou encore avec un flou esthétique maîtrisé. 

Une préparation exigeante pour un montage express

Le sujet est actuel, brûlant, et le film doit être diffusé le plus rapidement possible. Le projet a nécessité une grande préparation en amont afin d'assigner un parcours détaillé à chaque équipe. Elles peuvent ainsi être autonomes le jour J. Des heures de médias ont été transmises le soir-même au monteur qui, partie prenante de la préparation, pouvait déjà préparer son travail en espérant des plans précis. Une préproduction optimisée a pu nous permettre de rendre le film terminé dès le lendemain après quelques heures de montage seulement.